4 IAC, 1 FIV et 1 TEC : échecs. 2ème FIV : miracle ! 6 ans de patience et de combats pour enfin savourer le bonheur d être parents. Bon courage à toutes et à tous.
Une avancée notable dans le domaine de la GPA. Je me permets de partager cet article avec vous même si ce n'est pas de la pma.
Bonjour,
La période des fêtes de fin d'année est particulièrement difficiles pour les aventuriers de la PMA. J'ai une pensée pour vous et vous envoie toute ma sympathie et du courage pour les semaines et les mois à venir. Bonne chance à celles qui attendent leur résultat, à celles qui se battent encore et félicitations à celles qui ont eu récemment leur "+++" tant attendu.
Joyeuses Fêtes.
Virginie
Bonjour à toutes (et à tous, même si vous ne m'avez pas l'air bien nombreux Messieurs),
Je constate que, dans beaucoup de témoignages, vous parlez de decapeptyl pour l'induction de l'ovulation. Sachez qu'il existe un autre traitement, le Synarel, qui a le même objectif et qui a en plus le grand avantage de ne pas être sous forme de... seringues !! Alleluia !!!! Il se présente sous la forme de gouttes dans le nez. Si si, je vous assure.
Je l'ai pris pour ma 2ème tentative de FIV, je l'ai très bien supporté et j'ai apprécié ce traitement plus "léger". (Je déteste les piqûres)
Bien sûr, chaque traitement est propre à chaque cas et à chaque patiente mais je pense que ça vaut le coup que j'en parle ici. Les traitements sont tellements lourds et difficiles à supporter, si on peut éviter en plus de se piquer le bide... Mon gynécologue me disait que le Synarel avait fait ses preuves mais que, comme il était sur le marché depuis peu (2011 je crois), les médecins ne le prescrivaient que rarement.
N'hésitez pas à en parler à votre médecin.
Bon courage dans votre projet.
Virginie
http://www.lepoint.fr/editos-du-point/anne-jeanblanc/video-don-d-ovocytes-un-appel-aux-femmes-17-11-2013-1757961_57.php
Merci Virginie pour le lien et ta contribution.
Je vais mettre l'article dans le blog du site avec le lien.
A bientôt
Olivier
http://rhone-alpes.france3.fr/2013/09/16/don-de-sperme-l-appel-du-cecos-de-lyon-319695.html
http://playtv.fr/replay/334146/l'invite-de-la-grande-edition-professeur-rene-frydman/25-06-2013/
Intervention télévisée très intéressante comme il devrait y en avoir plus souvent !
Super, merci pour l'info et le lien.
Reportage très sympa sur la PMA à voir absolument.
Bonjour à tous,
J'ai arrêté la contraception en octobre 2006. Mon ami et moi avions alors respectivement 33 et 27 ans. Le temps a passé, les rdv gynéco se sont enchaînés : "vous avez le temps, vous êtes jeune, ça va venir, arrêtez d'y penser..." pendant 2 ans.
Nous avons déménagé, j'ai changé de médecin. "Tout va bien, rien d'anormal dans les examens ; il suffit parfois d'une bonne cure de vitamines". Quelle perte de temps (et d'argent) ! Au bout de quelques mois, voyant que les vitamines n’étaient pas très efficaces, j’ai démarré les traitements hormonaux. Négatif.
En 2010, mon médecin nous a proposé de pratiquer des inséminations artificielles. Les 4 que nous avons effectuées ont toutes été un échec. La seule chose que j'ai obtenue, c'est un kyste ovarien, développé à cause des traitements. Opération fin 2010 pour le retirer. J’ai n’ai donc pas donné suite aux inséminations.
Mon gynécologue nous a alors orienté vers un confrère spécialisé dans les FIV. Nous avions hâte et y croyions beaucoup. 1ère tentative en mai 2011. Echec. Transfert d'embryon congelé (le seul qui me restait de ce premier épisode) en octobre. Echec. Tout à refaire. Et là, la petite phrase "il faut y croire" sonnait subitement creux dans ma tête. J'y croyais pourtant. A chaque tentative, j’y croyais. Comme quoi ça ne suffit pas toujours. Et puis si on rajoute "tu sais, c'est psychologique" ou encore "faut pas y penser"... Ah oui d'accord, j'avais pas compris ! Faut y croire et mais sans y penser de trop quand même, sachant que de toute façon c'est dans notre tête que ça se passe...
Donc la fin d'année 2011 a été particulièrement difficile. Les doutes, la peur de revivre d'autres échecs, beaucoup de remises en question. Je n'étais plus motivée, limite déprimée, je n'y croyais plus. Et puis à chaque annonce de grossesse ou de naissance dans notre entourage, le moral chutait sérieusement. Suite à l’insistence de mon mari, j’ai quand même pris rdv avec le même spécialiste en janvier 2012. Peut-être va-t’il nous donner la raison de ces échecs ou bien nous prescrire des examens complémentaires ? Rien de tout cela. Il n’y a pas d’explication, faut y croire et être patient. Le médecin ne m’a pas écoutée. Ma « pause FIV » s’est confirmée dans ma tête.
Plusieurs mois se sont écoulés. J’ai découvert par hasard le site mapma.fr et posté mon témoignage. Olivier, le créateur du site, m’a alors contactée et raconté son histoire. Il m’a dit que parfois il était nécessaire de changer de centre médical car ils ne se valent pas tous (surtout si l’écoute n’est pas au rdv) et m’a redirigée vers un hôpital de l’ouest parisien. Dans ma tête j’étais encore en « pause FIV » mais son conseil a fait son chemin dans notre tête et, quelques mois plus tard, nous avons pris rdv dans ce nouveau centre. Le protocole médical qu’il nous proposait était différent de celui que nous avions connu jusqu’alors. Nous avons donc effectué notre 2ème tentative dans ce nouveau centre en octobre 2012, transfert de 2 embryons, toujours avec la peur de l’échec et des éventuelles conséquences sur notre couple et notre mental. Moi j’avoue que j’y croyais sans plus, et j’y suis allé à reculons. Mais la persévérance a du bon puisque cette tentative était la bonne. Un des deux embryon, notre petit champion, s’est accroché. La naissance est prévue en juillet prochain. Nous ne souhaitons pas connaître le sexe du bébé et laissons, pour une fois, faire la nature.
Nous remercions chaleureusement Olivier pour son soutien et son conseil. Bien sûr, rien n’était gagné. Changer de centre ne suffit pas toujours mais Olivier nous a redonné un peu de courage et le changement de centre un second souffle, dans ce parcours extrêmement éprouvant.
Je sais que dans les moments difficiles nous n’avons pas toujours envie de lire ou d’écouter des témoignages positifs mais si nous pouvons apporter notre soutien à quiconque en a besoin, nous le ferons avec plaisir. Parfois, il suffit juste d’une écoute attentive.
Nous vous souhaitons très sincèrement de réaliser votre projet bébé et vous envoyons beaucoup de courage et de persévérance. N’hésitez pas à nous contacter via ce site si vous en ressentez le besoin. Vous n’êtes pas seuls.
Virginie et Luc
bonjour,
votre histoire est un espoir pour tous ceux qui galèrent comme nous.Merci de nous l'avoir fait partager!Pour ma part ,je ne suis qu'aux débuts des traitements et j'ai encore du mal à entrevoir un avenir favorable.
Merci Virginie pour cet article.
C'est vrai que la GPA est encore un autre combat qui en plus d'être lié à l'infertilité avec toutes les dificultés psychologique que l'on connait ajoute une immense contrainte politique et judiciaire d'un pays en retard constant sur son époque et gouverné pas des retraités qui n'ont pas trop le sense de la vie de famille.
A quand des partis politiques plus centré sur la famille ??? :-)